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"Morgane Bertrand est idéale dans Marie. Les parties vocales du rôle intrinsèquement très belles sont magnifiées par la ligne vocale et le timbre très intense adaptés aux affects du personnage ; sa romance, ses parties dans les ensembles ou son duo avec Gontran portent la marque d’une vraie cantatrice habitée par son personnage"

(Marie, Les Mousquetaires au Couvent, Varney)

Opérette Théâtre Musical, Didier Roumilhac

Casino de Barrière de Toulouse, 2024

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"La baronne de Morgane Bertrand joue une comédie plus délurée que dans bien des productions (« j’ai deux ou trois courses à faire » chante-t-elle, des raisons pour s’extérioriser) ; le timbre est plein et les harmoniques riches, que ce soit dans le trio d’entrée ou dans l’air restitué"

(La Baronne, La Vie Parisienne, Offenbach)

Opérette Théâtre Musical, Didier Roumilhac

Le Pin Galant, 2023

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"Morgane Bertrand, après avoir interprété le rôle de Gabrielle en tournée avec Opéra Eclaté d’Olivier Desbordes et Clermont Auvergne Opéra, se glisse avec aisance dans les atours d’une Baronne malicieuse dont la féminité frémissante rivalise avec une irrésistible coquetterie doublées d’un chant souple et moelleux. A noter que la Baronne chante son air « Je suis encore toute éblouie » (désormais très souvent rétabli dans la version de 1873)"

(La Baronne, La Vie Parisienne, Offenbach)

Résonances Lyriques, Christian Jarniat

Casino de Barrière de Toulouse, 2023

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"Les deux pestes sont campées brillamment par Morgane Bertrand (Clorinda) et Lucile Verbizier (Tisbé), pétillantes coquettes. Cette production permet en outre à la jeune soprano agennaise de donner pleinement à entendre la souplesse de sa voix et la beauté de son timbre grâce à l’ajout de l’air composé par Agolini pour Clorinda, « Sventurata ! mi credea », souvent omis, qui donne lieu ici à une séance de séduction appuyée et cocasse sur la personne d’Alidoro"

(Clorinda, La Cenerentola, Rossini)

Forum Opéra, Anne Rouette

Clermont Auvergne Opéra, 2022

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"Ses deux demi-sœurs, dans leurs robes aux couleurs flashys, se démarquent elles aussi par leur jeu de scène follement pétillant, dont la vis comica s'exprime à maintes reprises. Morgane Bertrand chante Clorinda avec un soprano clair et virtuose, épousant avec bonheur les traits de risible versatilité dévolus au rôle"

(Clorinda, La Cenerentola, Rossini)

Olyrix, Pierre Géraudie

Clermont Auvergne Opéra, 2022

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"Morgane Bertrand, piquante Clorinda"

(Clorinda, La Cenerentola, Rossini)

Bachtrack, Roland Duclos

Clermont Auvergne Opéra, 2022

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"Les qualités vocales en revanche sont davantage remarquées chez la Clorinda de Morgane Bertrand, au timbre et à l’émission de gracieux soprano léger, enrichis d’un solide tempérament"
(Clorinda, La Cenerentola, Rossini)

Anaclase, François Cavaillès

Festival de Saint-Céré, 2021

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"La représentation est traversée de formidables moments de jeu, notamment entre les deux sœurs dont Morgane Bertrand et Inès Berlet restituent la réjouissante exubérance, mêlant avec bonheur leurs timbres contrastés"

(Clorinda, La Cenerentola, Rossini)

Fragil, Christophe Gervot

Festival de Saint-Céré, 2021

 


"La soprano Morgane Bertrand (Clorinda) et la mezzo-soprano Lucile Verbizier (Tisbé) forment un inséparable duo de pestes, véritables caricatures des méchantes sœurs à coups de voix haut perchées et crêpages de chignon. Campant une ambitieuse Clorinda, Morgane Bertrand révèle toute l’élégance de son timbre lumineux. Son air, “Sventurata mi credea”, est un moment marquant de la soirée où elle dévoile la versatilité de son expression musicale et de son jeu, d’abord héroïne tragique presque verdienne puis capricieuse furie tout en légèreté vocale"
(Clorinda, La Cenerentola, Rossini)

Olyrix, Noémie Tessier

Opéra de Massy, 2021

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"Dans la prière finale, Lux aeterna, la vigueur et l’aspiration vers l’infini laissent entrevoir, grâce à la belle étendue du soprano Morgane Bertrand, notamment, la foi en l’homme qui doit survivre et s’épanouir sans attendre prodige ni miracle"
(Soprano solo, Requiem, Mozart)

Anaclase, François Cavaillès

Festival de Saint-Céré, 2019


"Du côté des dames, la voix et l'interprétation délicieuse de Morgane Bertrand"
(Gabrielle, La Vie Parisienne, Offenbach)

Forum Opéra, Jean-Marcel Humbert

Théâtre de Clamart, 2019


"La soprano Morgane Bertrand joue avec ses beaux aigus de façon désopilante"
(Gabrielle, La Vie Parisienne, Offenbach)

Fragil, Christophe Gervot,

Festival de Saint-Céré, 2019

 
"Morgane Bertrand une pétillante Gabrielle, gantière délurée poussant un aigu tout aussi désinhibé que sa camarade..."
(Gabrielle, La Vie Parisienne, Offenbach)

Bachtrack, Roland Duclos,

Clermont Auvergne Opéra, 2019

 
"Les qualités de la voix de la soprano (...) lui permettent de sortir du lot"
(Gabrielle, La Vie Parisienne, Offenbach)

Resmusica, Marie Bertrande Flous

Clermont Auvergne Opéra, 2019


"La Gabrielle de Morgane Bertrand capte d'emblée l'audience par une voix pleine et puissante, dotée d'un timbre chaudement coloré"
(Gabrielle, La Vie Parisienne, Offenbach)

Olyrix, Pierre Géraudie

Clermont Auvergne Opéra, 2019
 

"Morgane Bertrand, voix longue, belle diction, couleurs, fait impression aussi bien dans les airs courroucés que dans les lignes lyriques notamment des duos"
(Hélène de Solanges, Véronique, Messager)

Opérette - Théâtre Musical, Didier Roumilhac

Théâtre de Castres, 2018


"Aux côtés d’artistes confirmés, des pépites sont révélées : Morgane Bertrand, soprano, offre à Véronique un visage pétillant et survolté par le désir de séduire. Son interprétation, tant vocale que scénique, est brillante"
(Hélène de Solanges, Véronique, Messager)

Les semaines de Castres

Théâtre de Castres, 2018


"Les interventions de Morgane Bertrand dans le rôle de la Duchessa di Paisley sont également indispensables"
(Duchessa di Paisley, Delitto e Dovere, Colla)

OperaClick

Treatro Coccia, 2017


"La Proserpina de la soprano Morgane Bertrand est impeccable"
(Proserpina, Orfeo, Monteverdi)

Baroquiades, 2016


"sans oublier Morgane Bertrand, convaincante en Proserpine"
(Proserpina, Orfeo, Monterverdi)

ResMusica, 2016


"Quant à l'Agenaise Morgane Bertrand, elle atteint déjà un tel niveau dans le répertoire belcantiste, Bellini, Donizetti, qu'on peut sans risque lui prédire un magnifique avenir !"

La dépêche, 2015
 

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